HAS
Proposition de définition de niveaux de risque des actes à visée esthétique.
Proposition de définition de niveaux de risque des actes à visée esthétique : risque sérieux, danger grave et suspicion de danger grave.
Il s’agit d’une demande de la Direction générale de la santé (DGS), qui souhaite disposer d’une définition des niveaux de risque, mentionnés aux articles L. 1151-2 et L-1151-3 du Code de la santé publique (CSP) - permettant respectivement d’encadrer ou d’interdire des actes à visée esthétique - mais non définis par ces textes, afin d’encadrer ces actes lorsqu’ils présentent un risque sérieux, ou d’interdire leurs pratiques lorsqu’ils présentent un danger grave ou une suspicion de danger grave pour la santé humaine.
Voir...
Défendez la médecine esthétique en vous syndiquant
Des attaques récentes contre la médecine esthétique, de la part de non-médecins : esthéticiennes, cosméticiennes, prothésistes ongulaires, etc...
On les appelle des « fake-injectors » : sans aucune qualification médicale, ces personnes réalisent des actes de plus en plus invasifs chez nos concitoyens (injections d'acide hyaluronique, voire de botox, microneedling, cryolipolyse, radiofréquence, plexr...) en les mettant en grave danger. Grâce à des prix attractifs et une communication bien ciblée via les réseaux sociaux tels qu'Instagram, Tik Tok ou Facebook, elles prospèrent...
C’est un phénomène sociétal dont la presse s’est largement fait l’écho. Saluons la récente victoire du SNCPRE qui a permis d'acter par décision de justice que les techniques de cryolipolyse et de microneedling soient pratiquées uniquement par un médecin.
Vous aurez compris que pour être entendu par nos instances, le SNME doit être le plus représentatif possible et donc que nous avons besoin de vous tous.
Ensemble, en étroit partenariat avec l’AFME et la SFME, nous pourrons faire la différence et garantir que notre profession continue d'offrir les meilleurs soins à nos patients.
Adhérez sans tarder
La Mésothérapie esthétique
Rapport HAS sur la pratique de la mésothérapie esthétique
Voir
Mémoire de la HAS en réponse au CE
La réponse de la Haute Autorité de Santé au Conseil d'Etat en réplique de notre demande d'annulation du décret n°2011-382 du 11 avril 2011 relatif à l'interdiction de la pratique d'actes de lyse adipocytaire à visée esthétique.